1. |
Intro
01:41
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2. |
En Guerre
05:07
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A l'aurore au son des cors
Flottait jadis, un parfum de mort
Comme une certitude que cette nuit
Les écorchés seront bénis
Que cette journée me semble douce
Le froid givrant marque ma peau
Quand de ma main ils périront
Je les garderais en trophée
Se préparer à triompher, prenez-garde
Si vous saviez, vous vous renieriez
Une force maléfique, vide mon âme, de son humanité
Plus d'empathies, des visions noires
Une âme sombre
Une volonté bien affichée, celle de contraindre,
Le genre humain, à périr
Le malin, m'a enseigné, à me méfier, de mes faiblesses
Je n'aurai plus aucune pitié
Une force, me traine, le mal est fait
Le poing serré
Je saisis mon glaive, d'une main vengeresse,
Chaque pas fait, c'est une vie qui saigne
Ils me font fasse mais seront à genoux
Et comprendront trop tard qu'ils n'ont plus de vie
Mon bras armé d'une lame impie
Je perce les chairs, regarde les vies tombées
De cette sordide bataille, mon âme périra
Mais cette humanité n'en sera que renforcée
De ces sacrifices, je me nourris
Quand je vois à vos pieds tout ce sang, je me languis
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3. |
Memento Mori
03:57
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"Où sont passés les neiges d'antan"
Les couleurs ocres de l'automne
Pareil aux feuilles mortes, mon corp flétrit
Le silence sonnera le glas de l'oubli
Souviens-toi que tu vas mourir
Quand les souvenirs laisseront place au néant
Plongez dans les songes éternels
Un voyage, ici bas vers les ténèbres
Memento Mori
Quand nos propres souvenirs s'enfuit
Cette peur, je l'a ressens
Elle me rappelle, ma finitude
Des mélodies passées
Ma mort annoncée
Je pense déjà, à l'oraison funèbre
Une lithanie, chantant ma mémoire
Devenir un souvenir, un temps passé
Du composte rongé, des cendres
Le crépitement sourd de ma tombe
Mon corps placé sans vie
Tant de j'aurais qui aujourd'hui s'enfuit
Souviens toi que tu vas mourrir
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4. |
Le Mal Des Ardents
05:51
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Je me nourris, de ce pain de seigle
Cette couleur noire, altère mes chaires
Le feu sacré, putrit ma chaire
Intoxiqué, me voila condamné
Ergot de seigle
Feu ardent, brûle mes chaires
Purifie moi, de ce brasier ardent
Frère Antonins, nourrit mon être
Mes membres se disloquent
Mon corps se convulse
Halluciné, je sombre dans la folie
Brûlant de douleur
Ma chaire se noircie
Comme une main plongée dans les flammes
Saint Antoine
Un corps malade, si faible, souffre
Accueil ce villageois sans le sous
Découpe, chaque membre, nécrosé
Sous une peau livide
Le mal ronge mes chaires
Enveloppé d'un froid glacial
S'en suit une chaleur étouffante
Découpe, chaque membre, nécrosé
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5. |
Le Jugement De L'eau
05:25
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Attrapez-le ce vieux
Je l'ai vu de mes propres yeux
Pris la main dans le sac
Sale voleur, ordalie
Pour laver, ton honneur, tu devras te soumettre,
Au jugement de l'eau
Immergé, dans ces eaux, glaciales, coule sans vie
Et ton innocence sera prouvée
Affronte, cette épreuve, divine
C'est le jugement de Dieu
Pour tout ceux, qui parjure, le blasphème
Affronte l'ordalie
Je lis la peur, au fond de tes yeux
Le bruit assourdissant, de ta liberté
Quand ta peau décharnée, sera rougi du fer
La foule se masse, épie ta chute
Prie pour que tes plaies putrides, cicatrisent
En dépis de quoi, tu mourras
Saisis l'incandescence, ta liberté
Et prie pour ton salut, chien galeux
J'ai plus d'un supplice, pour te torturer
Démontre moi, la justesse de ta cause
Tu te dis pure, mais ton nom est souillé
Tu seras écorché, jusqu'à la couenne
Songe aux épreuves, que tu devras surmonter
Cruauté des hommes, salut divin
Cruauté des hommes, salut divin
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6. |
Ignis Sacer
04:08
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Maudite vie
Ma condition, c'est celle d'un rat
Un vulgaire travailleur de la terre
Une veille Paillasse pour mon repos
J'ai tout construit
La lumière perce, des meurtrières
Des vieilles pierres, du bois pourri
Mange ton pain noir, comble ta faim
Vil seigneur prélève jusqu'à mon dernier sou
Prospère de ma ruine, planifie mon destin
Quand tu pars à la chasse, je me courbe l'échine
Prends ma vie
Jouis dans la soie
Quand je souffre sur la paille
Vil seigneur
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7. |
Révolte Paysanne
06:18
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Maudite vie
Ma condition, c'est celle d'un rat
Un vulgaire travailleur de la terre
Une veille Paillasse pour mon repos
J'ai tout construit
La lumière perce, des meurtrières
Des vieilles pierres, du bois pourri
Mange ton pain noir, comble ta faim
Vil seigneur prélève jusqu'à mon dernier sou
Prospère de ma ruine, planifie mon destin
Quand tu pars à la chasse, je me courbe l'échine
Prends ma vie
Jouis dans la soie
Quand je souffre sur la paille
Vil seigneur
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8. |
Le Tentateur Des Hommes
04:23
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Toi le porteur de lumière, le premier des archanges
Tire ta force de la lumière, Vénus veille sur toi
Le préféré de Dieu, le serpent tentateur
Ange déchu, tu ne seras jamais, à leur merci
Vénérez-moi, suivez-moi serviteurs
Goûtez à ma puissance
Nous régnerons en maître
Faites de moi le diable, le mal
Appelez-moi Satan, mais sens ma force
Idole d'un passé glorieux, levez le voile
S'ils ont cru bon de m'effacer, je ne reviendrai que plus fort!
Ma rébellion pour votre salut
Je vous montre la voie
Plus jamais, vous ne serez, servile
Accomplie, tes désirs, les plus sournois
Je ne fais que révéler, ta vraie nature
Tes défauts, ne sont que des tares pour les faibles
Et feront de toi demain, le tyran de tout ton être
N'écoute plus ces voix, de la servitude
Il agite l'enfer, mais c'est une menace vaine
J'ai vu l'envers, cet au delà fantaisiste
Au delà de ta vie, tu ne trouveras, que le néant!
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9. |
Traine Misère
04:46
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Une odeur pestilentielle, des ongles rongés par la terre
Avachie, les mains calleuses, il traîne sa carcasse
L'âme vérolée, le corps souillé, trace les sillons de ta perte
Né condamné, nourris tes maîtres, traîne misère
Toi le laborieux, le besogneux, des loques pour ornement
Tes vieilles mitaines, ton froc baissé, laisse entrevoir ta dignité
Ton visage vérolé, ta peau croûtée, pour quelques miettes
Même les corbeaux te toisent, traîne misère
Qui sait les froids grêlons et les rayons ardents
Sur ton cuir tanné, s'ébréchèrent les dents
Tremblant je sue, de cette santé, tachetée par la pauvreté
Quand bruisse le son du vent, l'âme se courbe
Le doux repos promis, des sentiments devenus folie
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FAQUIN Lille, France
I present to you "FAQUIN" a solo project.
A dirty sound, influences of the 90s, no originality just black metal in its strictest form.
Sincerely
Lord of Misery
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